Lutte contre la vulnérabilité des personnes dans la sous-région et le Sénégal : le programme des filets sociaux vient en appoint au programme de service de base. Le programme des filets sociaux permet aux pauvres de sortir de la précarité et de vivre plus dignement grâce aux aides fournies par les partenaires et les gouvernements.
Seynabou Gaëlle DIONG
Présentation hier dans les locaux de la Banque Mondiale de l’ouvrage intitulé « Les filets sociaux en Afrique, comment réaliser leur potentiel ? ». Cet ouvrage d’une cinquantaine de pages dresse le panorama des différents programmes de filets sociaux de plus en plus nombreux sur le continent. Thomas Bossuroy insiste sur la nécessité de prendre en compte la dimension politique de ces programmes pour un fort niveau de soutien auprès des populations et décideurs publics.
Thomas Bossuroy spécialiste principal en protection sociale à la Banque Mondiale répond aux questions de Seynabou Gaëlle DIONG
Environ 9,2 millions d’Africains vivent de la servitude, signale l’indice mondial de l’esclavage. Le mouvement Africans Rising veut mettre fin à ce fléau et appelle les dirigeants et citoyens à prendre leur responsabilité. Selon la Coordinatrice dudit mouvement, Coumba Touré, l’esclavage sévit toujours en Afrique et le continent enregistre le taux d’esclavage moderne le plus élevé au monde.
Compte rendu Fatoumata BA
« Dividende démographique et ses conséquences », c’est le thème d’un forum tenu ce matin à Dakar. Société civile, chercheurs, étudiants et ministères se penchent sur la question afin de tirer profit de la capture dividende démographique, gage d’un développement durable. Initiée par la Fondation Konrad Adenauer, en collaboration avec le mouvement citoyen, la rencontre devrait déboucher sur les conclusions de l’éducation citoyenne.
Compte rendu Seynabou DIALLO
Le Sénégal compte plus de 5 millions de pauvres. Le Registre national unique qui a donné cette information précise que plus de 47 mille ménages sont victimes d’insécurité alimentaire dans les départements de Podor, Matam, Kanel et Ranérou. Pour le Forum Civil, cette situation perdure car les populations doivent faire face aux phénomènes naturels. Selon Mamadou Lo Thiam, les habitants n’ont plus de moyens pour subvenir à leurs besoins. Le Point Focal du Forum Civil au Conseil national de la Sécurité Alimentaire invite les autorités à améliorer leur intervention pour une meilleure efficacité.
Mamadou Lo Thiam est au micro de Seynabou Gaëlle DIONG
Offensive Locale Citoyenne (OFFLOC), le projet a fait l’objet d’un atelier de cadrage méthodologique ce matin. Pendant 3 jours, une centaine d’acteurs de la décentralisation et du développement local et ONG ont réfléchi sur comment faire la résilience communautaire, la bonne gouvernance, comment lutter contre la corruption et l’évasion fiscale. Ce projet de deux ans est financé par l’Union Européenne à hauteur d’1,5 million d’euros. La phase pilote concerne les régions de Dakar, Thiès, Diourbel, Kolda et Sédhiou.
Compte rendu Seynabou DIALLO
La 2ème participation consécutive, en janvier 2019, du Sénégal au Salon International de l’Innovation à Las Vegas a été timide, signale le rapport de participation de Gaindé 2000 présenté hier par les représentants. A l’origine de cette situation, le manque de moyens financier et surtout institutionnel. Pour les éditions à venir, les initiateurs souhaitent plus d’appui pour une meilleure visibilité du Sénégal, afin d’attirer plus d’investisseurs.
Compte rendu Maty Sarr NIANG
La journée internationale de la femme, une journée Internationale de la femme une occasion de réfléchir sur la condition féminine au sénegal. La politique de l’état envers les femmes, les avancées et les défis à relever abordé par avec la conseillère technique Numero 1 du Ministère de la femme, de la famille et du genre dans un entretien réalisé pas Mbayang Cor
Le pont de Farafégny va désenclaver la Casamance et par la même occasion relancer l’activité économique. Une conviction du Président de la Chambre de commerce d’Industrie et l’Agriculture de Ziguinchor. Par ailleurs acteur économique, Pascal Ehemba remémore les difficultés que les acteurs économiques du pays rencontrent avec le bac de Banjul.
Il réagit au téléphone de Mbayang COR
L’émergence, une réalité ou un mythe ? Pour les étudiants de la Faculté des Sciences Economiques et de Gestion de l’UCAD, ce projet d’émergence, tant prôné par les autorités, n’impacte pas pour l’heure le coût de la vie et le pouvoir d’achat de la population. D’après ces étudiants, booster les secteurs secondaires et favoriser l’accès des PME aux marchés publiques peuvent être des pistes pour atteindre cette émergence.
Reportage Sadio SYLLA
