Catégorie : Oumar Baldé

Commercialisation de l’arachide : Le Sénégal compte sur le soutien de la Turquie pour relever les défis

Pour relever les défis liés à la commercialisation de l’arachide dont la production estimée cette année à plus de 1 million 400 mille tonnes, le gouvernement sénégalais compte sur le soutien de la Turquie. En effet, le Président Macky Sall sollicite un élargissement de la coopération à l’exportation de l’arachide sénégalais en Turquie. L’invitation a été lancée au cours de la conférence de presse, organisée dans le cadre de la visite du président turc dans notre pays.

Compte rendu Oumar BALDE

 

Visite du Président turc Recep Tayyip Erdogan à Dakar : Retour sur la relation économique entre le Sénégal et la Turquie

Le Président turc, Recep Tayyip Erdogan, est attendu, demain mercredi, à Dakar pour une visite officielle de 4 jours. Au menu de son séjour, la signature de plusieurs accords de coopération, des visites de chantiers à Diamniadio, AIBD, suivi du lancement du Forum des affaires sénégalo-turques. Une occasion pour nous de faire une rétrospective de la coopération économique bilatérale entre les deux pays qui, d’ailleurs, se porte bien. En atteste le volume de leurs échanges commerciaux qui a atteint 150 milliards de FCFA en 2018. Mais l’objectif d’Ankara et de Dakar est de le porter à 1 milliard de dollars d’ici 2020.

Le résumé de la relation économique des deux pays avec OMAR BALDE

« Le Sénégal peine à avancer dans cette lutte contre la corruption », selon Seydi Gassama, le Président d’Amnesty Sénégal

Le Sénégal 8ème au plan africain  dans le classement de l’indice de perception de la corruption 2017 de Transparence International. Selon l’ONG, notre pays est toujours dans la zone rouge, il comptabilise 45 points sur 100 le même score que celui de 2016. Pour le Président d’Amnesty Sénégal, Seydi Gassama, le Sénégal peine à avancer dans cette lutte contre la corruption. Pour cause, des poursuites ciblées de lutte contre la corruption et de détournement de fonds notamment le cas Khalifa Sall.

Le Président d’Amnesty Sénégal est interrogé par Omar BALDE

Le festival dénommée « aliment terre », innovation de cette 19ème édition de la FIARA

200 millions de FCFA, c’est le budget de la FIARA 2018. La particularité de cette 19ème édition sera le festival dénommée « aliment terre ». Prévu du 29 mars au 12 avril, ce rendez-vous annuel entre producteurs et acteurs économiques sera axé sur le thème « La contractualisation entre les organisations de producteurs et les industriels ». En prélude à cette rencontre, le comité d’organisation de la FIARA a fait face à la presse pour évaluer l’état d’avancement des préparatifs.

Compte rendu Omar BALDE

Invité du jour : Professeur Abdoulaye Seck, économiste enseignant à l’UCAD sur le taux de croissance du Sénégal

Le Sénégal a atteint un taux de croissance de 7,1% en 2017, a affirmé Amadou Ba, ministre de l’économie et des finances hier à l’Assemblée nationale. Cependant, cette croissance n’est pas inclusive, selon l’économiste Abdoulaye Seck. Cause pour laquelle, elle ne se sent pas sur le quotidien des Sénégalais. Il estime que les 7,1% pourraient profiter aux Sénégalais s’ils intègrent les différentes couches des populations dans le processus de création de richesses.

Abdoulaye Seck est joint au téléphone par Oumar BALDE

Lancement du projet de renforcement de la sécurité alimentaire nutritionnelle et de la recherche face aux chocs climatiques

337 mille dollars, c’est le budget pour la mise en œuvre du projet de renforcement de la sécurité alimentaire nutritionnelle et de la recherche face aux chocs climatiques. Cofinancé par le gouvernement du Sénégal et la FAO, ce programme permet de renforcer les systèmes alimentaires territoriaux. 1er du genre en Afrique subsaharienne, ce programme est une approche innovante qui combine deux communes de Dakar et de Fatick. La cérémonie de lancement s’est tenue ce matin à Dakar.

Oumar BALDE

Modernisation du système fiscal : Le Sénégal s’est doté de la plateforme Etax

Le Sénégal s’est doté de la plateforme de télé déclaration et de télépaiement des impôts de nouvelle génération dénommée Etax. Sa mise en place entre dans le cadre de la modernisation du système fiscal du Sénégal. Etax est destiné au secteur privé, notamment les entreprises qui ont un chiffre d’affaires de 2 milliards ou plus hors taxe. La cérémonie de lancement a été présidée par le ministre du budget Birima Mangara.

Compte rendu Oumar BALDE

Grève des enseignants les 7 et 8 février : La FEDER fustige le non respect des accords par le gouvernement et le manque de négociations sérieuses

La FEDER (Fédération des Enseignants) va entamer à partir de ce mercredi sa 2ème phase du 5ème plan d’action de grève avec une grève totale les mercredi 7 et jeudi 8 février 2018, suivie d’une marche à Mbour. Ces enseignants se disent déterminés dans ce bras de fer avec les autorités. Les syndicalistes exigent de l’Etat 85 milliards de rappels d’avancement, d’intégration et de validation. Dame Mbodj et ses camarades fustigent le non respect des accords par le gouvernement et le manque de négociations sérieuses.
Ecoutons Dame MBODJ le coordonnateur de la FEDER par ailleurs SG du CUSEMS authentique au téléphone de Oumar BALDE

Visite d’Etat d’Emmanuel Macron : Un point sur le partenariat France-Sénégal

La France, 1er investisseur et partenaire commercial du Sénégal. Le volume des échanges commerciaux excédentaire en faveur de la France est estimé en 2016 à 834,2 mille euros. Cependant, les entreprises françaises jouent un rôle significatif dans la vitalité économique du pays en assurant un quart du PIB et des recettes fiscales. L’enveloppe de la France pour le Plan Sénégal Emergent a atteint 500 mille euros environ. Le Sénégal, un des seize pays prioritaires de l’aide publique au développement française bénéficie de plus de 78% du stock d’IDE de la France et un portefeuille actuel de 50 projets de l’Agence Française de Développement.

Les détails avec OMAR BALDE

Immatriculation des pirogues pas effective à Soumbédioune : Des lenteurs notées dans la délivrance des numéros

L’immatriculation des pirogues n’est pas effective au quai de pêche de Soumbédioune. Certains pêcheurs interrogés se désolent des lenteurs notées dans la délivrance des numéros d’immatriculation. Ils dénoncent l’attitude des agents du service de pêche qui demandent aux pêcheurs de payer au-delà du prix fixé à 15 mille francs pour obtenir leurs identifiants de pirogues. Pour eux, les immatriculations ont une importance capitale surtout pour l’obtention d’un prêt bancaire.

Reportage Oumar BALDE