Archive du jour : avril 9, 2018

Les réfugiés mauritaniens, victimes de précarité, sollicitent l’aide de l’Etat pour rentrer dans leur pays d’origine

Les réfugiés mauritaniens au Sénégal vivent dans des situations économiques difficiles. Certains parviennent à subvenir à leurs besoins familiaux grâce à la mendicité et aux dons. Face à la presse ce matin à Dakar, l’Organisation qui regroupe ces personnes réfugiées dénonce leur précarité. Ils se disent délaissés par l’Etat du Sénégal et réclament justice pour retourner dans leur pays d’origine.

Oumar BALDE

Rappelons que ces réfugiés sont victimes de sévères répressions et sont expulsés par l’Etat mauritanien en 1989 qui a fait plusieurs morts créant des tensions entre le Sénégal et la Mauritanie. Ces victimes ont toujours l’envie de retourner en Mauritanie leur pays d’origine.

Le marché bien approvisionné en sucre : Seul bémol, la qualité pointée du doigt par les vendeurs

La plus grande quantité de sucre est celle produite par la Compagnie Sucrière Sénégalaise (CSS). Affirmation faite par les grossistes et les détaillants. Ces commerçants soulignent que le produit se vend normalement. D’ailleurs, le sac s’échange à 27.500 francs et le kilogramme à 575 francs CFA. Cependant, ces vendeurs demandent à la Compagnie de revoir la qualité de cette denrée.

Aminatou DIALLO

Invité du journal : Daouda Thiam, Président de la Chambre de commerce, d’Industrie et d’Agriculture de Dakar

L’invité de cette édition est Daouda Thiam. Le Président de la Chambre de commerce, d’Industrie et d’Agriculture de Dakar revient sur les enjeux du forum économique Sénégal-Iran. Les opportunités d’affaires à saisir sont multiples des deux côtés.

Daouda THIAM est au micro de Mbayang COR

Invité du jour : Amary Diouf, Secrétaire Général du Syndicat des Travailleurs de la Compagnie Sucrière Sénégalaise

Amary Diouf est l’invité du journal. Le Secrétaire général du Syndicat des Travailleurs de la Compagnie Sucrière Sénégalaise affilié à la CNTS/FC revient dans cet entretien sur la mévente de 85 mille tonnes de sucre. Il est également revenu sur la concurrence des importations illégales de sucre, qui, selon lui, favorise des invendus et menace quelque 9 mille travailleurs.

Amary DIOUF est interrogé par Seynabou DIALLO