Archive du mois : septembre 2023

Démission de Aly Ngouille Ndiaye : Les agriculteurs apprécient différemment cette décision

Aly Ngouille Ndiaye n’est plus ministre de l’agriculture et de l’équipement rural. Décision prise suite à la désignation d’Amadou Ba comme candidat de la Coalition Benno Bokk Yaakaar à l’élection présidentielle de 2024. Les acteurs du secteur apprécient différemment cette décision. Si du côté de la filière oignon, on parle de bilan satisfaisant, ceux de la zone des Niayes estiment, eux, que le moment est inopportun pour démissionner.
Oumy DIOP pour plus de précisions

Programme AWF : 30 femmes entrepreneurs accompagnées par la Fondation Sephis

Lancement ce weekend du Programme African Woman for the Future ; 30 femmes entrepreneurs ont été choisies pour être formées et accompagnées par la Fondation Sephis. Ce programme d’un montant d’un milliard FCFA, mobilisé grâce au GIZ, devra servir à la formalisation, la gestion et l’accès aux financements et aux marchés. Selon la Présidente du Conseil d’Administration de ladite Fondation, Sefora Kodjo, le choix du Sénégal s’explique par le dynamisme de son écosystème et de l’engagement des femmes.
Compte rendu Sadio SYLLA

Invité : Magaye Gaye, économiste international sur l’adhésion de l’Union Africaine au G20

L’invité du journal est Magaye Gaye, économiste international. Prétexte de cet entretien, l’adhésion de l’Union Africaine au G20. Dans cet entretien, Magaye Gaye estime que l’agenda du G20 pourrait être en contradiction avec celui de l’Union Africaine. Il estime que les vrais enjeux ne se trouvent pas dans les déclarations diplomatiques non suivies d’actions concrètes. L’économiste qui ne croit pas au G20 propose de réformer l’Organisation des Nations-Unies.
Il répond aux questions de Seynabou Gaelle DIONG

Invité : Séfora Kodjo, Présidente du Conseil d’administration de la Fondation Sephis

Séfora Kodjo, Présidente du Conseil d’administration de la Fondation Sephis, spécialisée dans la formation et l’accompagnement de l’entrepreneuriat féminin est l’invité du journal. Répondant aux questions de Sadio Sylla, elle revient sur le lancement du programme African Woman of the Future au Sénégal et sur les enjeux et défis qu’il faut relever pour développer l’entrepreneuriat féminin en Afrique.
Suivons leur entretien

L’adhésion de l’UA au G20 suscite des réactions mitigées de la part des économistes

Depuis ce samedi, l’Union Africaine est officiellement membre du G20. Décision actée lors du sommet du groupe organisé à New Delhi ce Weekend. L’UA qui a son siège à Addis Abeba compte 55 membres dont 6 suspendus et 3 mille milliards dollars de PIB. Une adhésion qui suscite des réactions mitigées de la part des économistes.
Les arguments des uns et des autres à suivre dans ce compte rendu de Seynabou Gaelle DIONG

Culture du maïs : De bons rendements attendus cette année

Les producteurs de maïs ne parlent plus le même langage concernant le programme test de lutte contre les insectes ravageurs. Si à Kédougou l’Interprofession maïs se félicite des actions menées par le ministère de l’agriculture, à Kolda leurs camarades déplorent leur non implication à ce programme. Toutefois, tous affirment s’attendre à de bons rendements cette année annoncés comparés à l’année dernière.
Reportage Sadio SYLLA

Invité : Pr Limamou Libasse Sylla, SG de la section ISEP au sein du SUDES

50 enseignants permanents des cinq Instituts Supérieurs d’Enseignement Professionnel (ISEP) n’ont pas de statut réel encore moins de plan de carrière. Une situation qui bloque leur avancement, selon le Pr Limamou Libasse Sylla. D’après le Secrétaire Général de la section ISEP au sein du SUDES, seul le vote de la loi d’orientation actuellement en cours de validation à l’assemblée nationale peut permettre de changer la donne. Cependant, en dépit de leur non implication dans la démarche, il souhaite que cette loi soit votée.
Il est interrogé par Seynabou Gaelle DIONG

Invité : Amadou Lamine Diagne, économiste sur la baisse du taux de croissance

L’économie sénégalaise a perdu 1,2 point de croissance à cause de la situation sociopolitique tendue durant le 1er trimestre de cette année. Ainsi, le taux de croissance est passé de 5,3 à 4,1%. Information donnée par le Chef d’une équipe du Fonds Monétaire International à l’issue d’une mission au Sénégal du 31 aout au 7 septembre. Des conclusions du FMI que ne partage pas l’économiste Amadou Lamine Diagne. Selon lui, les causes de cette baisse sont externes notamment avec les coups d’Etat, la crise en Ukraine, entre autres. Il soutient par ailleurs que si la situation perdure, des difficultés pourraient être notées dans les transactions financières de même qu’un ralentissement du programme de développement du Sénégal d’ici 2030.
Amadou Lamine DIAGNE est interrogé par Oumy DIOP

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