Archive du jour : juillet 25, 2024

Migration : Nos Etats n’ont pas assez de ressources pour gérer la crise

Nos États n’ont pas assez de ressources pour gérer la crise migratoire et la prise en charge des candidats. C’est ce qu’estime l’Enseignant-Chercheur à l’Université Virtuelle Amadou Makhtar Mbow. Mansour Tall martèle que les migrants retenus dans les camps font l’objet de toute sorte de sévices et que leur nombre reste encore inconnu par nos autorités. Pour lui, la sécurité doit s’inscrire dans la stratégie de gestion des questions migratoires.
Mansour TALL est joint au téléphone par Seynabou Gaëlle DIONG

Baisse des taux d’intérêt de la microfinance à 5% : Le ministre appelle à des discussions

Revoir à la baisse les taux d’intérêt de la microfinance jusqu’à 5%, tel est le souhait du ministre de la microfinance et de l’économie sociale et solidaire. Alioune Dione appelle les acteurs à discuter sur les modalités afin d’atteindre cet objectif. C’est ce qui ressort de la 29ème session du Comité national de coordination des activités de microfinance tenue ce matin à Dakar. Cette rencontre a servi de cadre pour présenter une étude menée sur les taux d’intérêt des systèmes financiers décentralisés jugés trop élevés.
Compte rendu Oumy DIOP

Invité : Famara Ibrahima Cissé, Président de l’ACSIF sur les taux d’intérêt

Les institutions de microfinance ont des taux d’intérêt élevés allant jusqu’à 24%. Constat fait par le Président de l’Association des Clients et Sociétaires des Institutions Financières (ACSIF). Famara Ibrahima Cissé estime que ces taux pourraient être revus à la baisse entre 8 et 9%. Par ailleurs, il plaide pour l’assainissement du secteur de la microfinance. Il s’exprimait en marge de la 29ème session du comité de coordination des activités de microfinance tenue ce matin à Dakar.
Il est interrogé par Oumy DIOP

Invité : Sengane Senghor, Coordonnateur Observatoire antenne Dakar RADDHO

Au moins 25 morts et des centaines de personnes sont portés disparus lors d’un naufrage ce lundi au large de Nouakchott. Pour les spécialistes de la question migratoire, il n’y a jamais eu de répit, juste un temps d’accalmie durant l’hiver en Europe où les migrants ne prennent pas le risque de braver la mer. Sengane Senghor de l’Observatoire de la RADDHO soutient que le nombre exact de migrants retenus dans les camps en Libye, Tunisie et l’Egypte n’est pas connu, encore moins les démarches entreprises Il est interrogé par Seynabou Gaelle DIONG

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