Catégorie : Economie

Assises économiques du MDES : Un cadre d’échange et de partage entre autorités et entrepreneurs

Ouverture ce matin des assises économiques annuelles du Mouvement des Entreprises du Sénégal. Cette rencontre, 22ème du genre, se veut un cadre d’échange et de partage entre autorités et entrepreneurs. D’après le Président du MEDS, l’appropriation de la plénitude de la jouissance des ressources naturelles est importante pour asseoir un véritable développement économique et social du pays avec l’exploitation prochaine du pétrole. Mbagnick Diop de plaider pour la création d’un environnement propice à l’innovation, l’investissement et à la création d’emplois pour booster le secteur privé. « Ownership » est le thème des assises de cette année.
Il est au micro de Oumy DIOP

Invité : Abdoulaye Ly, Directeur Exécutif du Club des Investisseurs Sénégalais

L’ouverture d’une agence panafricaine de notation financière brandie par des responsables financiers à l’Union Africaine vient à son heure, selon Abdoulaye Ly. Le Directeur Exécutif du Club des Investisseurs sénégalais estime que l’Afrique a longtemps été sous notée par les agences internationales établies en Occident et qui n’ont aucune notion des réalités du continent. Toutefois, il invite l’UA à mettre en place une agence impartiale, autonome et à l’abri des influences politiques.
Entretien réalisé par Sadio SYLLA

Invité : L’économiste Mounirou Ndiaye sur l’agence de notation panafricaine

Mounirou Ndiaye est l’invité du journal. Au menu de de cet entretien accordé à Sadio Sylla, l’économiste revient sur l’agence de notation financière panafricaine qui sera lancée en 2024 par l’Union Africaine. Il estime que c’est une bonne initiative qui permettra de redorer l’image du continent qui a longtemps souffert de la mauvaise perception des grandes agences Moody’s, Fitch et Standard and Pulse.
Suivons leur entretien

Agence de notation panafricaine : Initiative saluée par les économistes et les investisseurs

L’idée de mettre en place une agence de notation propre à l’Afrique en 2024 est louable, selon les économistes et le secteur privé sénégalais. Ces derniers estiment que l’Afrique a longtemps souffert des nombreuses perceptions des grandes agences internationales telles que Moody’s et Fitch. Ces acteurs soutiennent cette initiative et soulignent qu’elle sera bénéfique et permettra de redorer l’image du continent auprès des investisseurs.
Sadio SYLLA pour plus de précisions

Invité : Magaye Gaye, économiste international sur l’adhésion de l’Union Africaine au G20

L’invité du journal est Magaye Gaye, économiste international. Prétexte de cet entretien, l’adhésion de l’Union Africaine au G20. Dans cet entretien, Magaye Gaye estime que l’agenda du G20 pourrait être en contradiction avec celui de l’Union Africaine. Il estime que les vrais enjeux ne se trouvent pas dans les déclarations diplomatiques non suivies d’actions concrètes. L’économiste qui ne croit pas au G20 propose de réformer l’Organisation des Nations-Unies.
Il répond aux questions de Seynabou Gaelle DIONG

L’adhésion de l’UA au G20 suscite des réactions mitigées de la part des économistes

Depuis ce samedi, l’Union Africaine est officiellement membre du G20. Décision actée lors du sommet du groupe organisé à New Delhi ce Weekend. L’UA qui a son siège à Addis Abeba compte 55 membres dont 6 suspendus et 3 mille milliards dollars de PIB. Une adhésion qui suscite des réactions mitigées de la part des économistes.
Les arguments des uns et des autres à suivre dans ce compte rendu de Seynabou Gaelle DIONG

Invité : Amadou Lamine Diagne, économiste sur la baisse du taux de croissance

L’économie sénégalaise a perdu 1,2 point de croissance à cause de la situation sociopolitique tendue durant le 1er trimestre de cette année. Ainsi, le taux de croissance est passé de 5,3 à 4,1%. Information donnée par le Chef d’une équipe du Fonds Monétaire International à l’issue d’une mission au Sénégal du 31 aout au 7 septembre. Des conclusions du FMI que ne partage pas l’économiste Amadou Lamine Diagne. Selon lui, les causes de cette baisse sont externes notamment avec les coups d’Etat, la crise en Ukraine, entre autres. Il soutient par ailleurs que si la situation perdure, des difficultés pourraient être notées dans les transactions financières de même qu’un ralentissement du programme de développement du Sénégal d’ici 2030.
Amadou Lamine DIAGNE est interrogé par Oumy DIOP

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