Catégorie : Redaction

Lutte contre les MTN : Le ministère de la santé forme 150 enquêteurs et superviseurs

Lutte contre les maladies non transmissibles ; le ministère de la santé a lancé, hier à Dakar, la semaine de formation de 150 enquêteurs et superviseurs. Il s’agit de médecins, infirmiers et sage-femmes qui seront déployés durant deux mois (aout et septembre) à travers le pays pour évaluer les facteurs de risques. Occasion pour le Secrétaire du ministère de la santé de rappeler que les MTN sont responsables de 74% de décès dans le monde.
Seynabou DIALLO pour plus de détails

Code de la presse : Les entreprises appelées à se conformer à la réglementation en vigueur

Le ministère de la communication, des télécommunications et du numérique demande aux entreprises de presse écrite et audiovisuelle de se conformer à la réglementation en vigueur. L’information est contenue dans un communiqué dudit ministère publié ce jeudi. Selon toujours le communiqué, ces entreprises ont trois jours pour se conformer à la règle car il a été noté une absence de déclaration de parution et de non-respect du dépôt légal.
Oumy DIOP nous fait l’économie du communiqué

Lutte contre la pêche INN : 24 navires arraisonnés entre janvier et juillet 2024

Entre janvier et juillet 2024, 24 navires ont été arraisonnés par la Direction de la Protection et de la Surveillance des Pêches. Pêche en zone interdite, transbordement illégal de produits ou pêche sans autorisation sont entre autres infractions commises par ces chalutiers. Le montant des amendes prévues est compris entre 400 et 599 millions FCFA. Cette opération entre dans le cadre de la lutte contre la pêche illicite non déclarée et non réglementée.
Aminatou DIALLO nous en dit plus

Invité : Dr Aliou Ba, Chargé de campagne océan à Greenpeace

Greenpeace salue l’initiative des autorités qui vise à renforcer la transparence dans le secteur de la pêche. Pour le Chargé de campagne océan de l’ONG, la prochaine étape doit être la réalisation de l’audit du pavillon Sénégal et le renforcement de la surveillance des pêches. Ceci permettrait de relever toutes les irrégularités et les manquements.
Dr Aliou BA est interrogé par Aminatou DIALLO

Migration : Nos Etats n’ont pas assez de ressources pour gérer la crise

Nos États n’ont pas assez de ressources pour gérer la crise migratoire et la prise en charge des candidats. C’est ce qu’estime l’Enseignant-Chercheur à l’Université Virtuelle Amadou Makhtar Mbow. Mansour Tall martèle que les migrants retenus dans les camps font l’objet de toute sorte de sévices et que leur nombre reste encore inconnu par nos autorités. Pour lui, la sécurité doit s’inscrire dans la stratégie de gestion des questions migratoires.
Mansour TALL est joint au téléphone par Seynabou Gaëlle DIONG

Baisse des taux d’intérêt de la microfinance à 5% : Le ministre appelle à des discussions

Revoir à la baisse les taux d’intérêt de la microfinance jusqu’à 5%, tel est le souhait du ministre de la microfinance et de l’économie sociale et solidaire. Alioune Dione appelle les acteurs à discuter sur les modalités afin d’atteindre cet objectif. C’est ce qui ressort de la 29ème session du Comité national de coordination des activités de microfinance tenue ce matin à Dakar. Cette rencontre a servi de cadre pour présenter une étude menée sur les taux d’intérêt des systèmes financiers décentralisés jugés trop élevés.
Compte rendu Oumy DIOP

Invité : Famara Ibrahima Cissé, Président de l’ACSIF sur les taux d’intérêt

Les institutions de microfinance ont des taux d’intérêt élevés allant jusqu’à 24%. Constat fait par le Président de l’Association des Clients et Sociétaires des Institutions Financières (ACSIF). Famara Ibrahima Cissé estime que ces taux pourraient être revus à la baisse entre 8 et 9%. Par ailleurs, il plaide pour l’assainissement du secteur de la microfinance. Il s’exprimait en marge de la 29ème session du comité de coordination des activités de microfinance tenue ce matin à Dakar.
Il est interrogé par Oumy DIOP

Invité : Sengane Senghor, Coordonnateur Observatoire antenne Dakar RADDHO

Au moins 25 morts et des centaines de personnes sont portés disparus lors d’un naufrage ce lundi au large de Nouakchott. Pour les spécialistes de la question migratoire, il n’y a jamais eu de répit, juste un temps d’accalmie durant l’hiver en Europe où les migrants ne prennent pas le risque de braver la mer. Sengane Senghor de l’Observatoire de la RADDHO soutient que le nombre exact de migrants retenus dans les camps en Libye, Tunisie et l’Egypte n’est pas connu, encore moins les démarches entreprises Il est interrogé par Seynabou Gaelle DIONG

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