Catégorie : Seynabou Diallo

A la Une / Seynabou Diallo / Social

Mauvaises conditions de travail, licenciements abusifs : Les travailleurs de UNO, AGETIP et Total dénoncent

Mauvaises conditions de travail, licenciements abusifs, insécurité au travail, voilà ce que vivent les travailleurs de Uno, Total et Agetip. Face à la presse ce matin, ils ont dénoncé ces manquements. Au nombre de 5.000 licenciés dans ces différentes entreprises, ces travailleurs appellent l’État à les aider à entrer en possession de leurs droits. Le député Guy Marius Sagna d’affirmer que des solutions économique, sociale et financière seront trouvées par l’État.
Compte rendu Seynabou DIALLO

A la Une / Economie / Seynabou Diallo

« Il ne faut pas publier des rapports seulement pour les publier », selon Dr Mor Gassama

Il ne faut pas publier des rapports dans le but seulement de les publier dixit l’économiste Dr Mor Gassama. Selon ce dernier, tant qu’il n’y a pas de sanction pour donner l’exemple, la corruption va demeurer. Il soutient qu’il faut donner plus d’autonomie à ces organes de contrôle. Il se prononce ainsi sur la publication des rapports de l’OFNAC demandée par le Président de la république.
Nous l’écoutons au téléphone avec Seynabou DIALLO

A la Une / Economie / Invité du jour / Seynabou Diallo

Invité : Ababacar Fall, Secrétaire Général du GRADEC sur les rapports de l’OFNAC

La publication des rapports de l’OFNAC de 2019 à 2024 demandée par le Chef de l’Etat est bien accueillie par le Secrétaire général du Groupe de Recherches et d’Appui à la Démocratie participative et la bonne Gouvernance (GRADEC). Pour Ababacar Fall, cette démarche renforce la lutte contre l’impunité, le manque de transparence et la non redevabilité, entre autres. Selon lui, il faut aller au-delà de la publication en sanctionnant positivement ou négativement ceux qui sont pointés du doigt dans ces rapports. Il plaide pour plus de liberté pour ces organes de contrôle afin de réduire les tentatives de corruption.
Il est interrogé par Seynabou DIALLO

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Déclaration Préalable d’Importation : Les opérateurs économiques divisés sur le sujet

A partir du 1er mai 2024, toute importation de marchandise dont la valeur est égale ou supérieure à 500.000 francs est assujettie à l’obligation de produire une Déclaration Préalable d’Importation (DPI). Décision prise par la Douane et les nouvelles autorités. Les commerçants ont des réactions mitigées concernant cette mesure. Si l’Association des Commerçants et Industriels du Sénégal (ACIS) estime que cela risque d’entrainer une augmentation des taxes de 40 voire 50% qui va se répercuter sur le prix des marchandises. L’importateur, Moustapha Tall estime, lui, qu’on ne peut pas industrialiser un pays sans formaliser le secteur informel.
Les précisions avec Seynabou DIALLO

A la Une / Agriculture / Invité du jour / Seynabou Diallo

Invité : Dr Laure Tall, Directrice de Recherche à l’Initiative Prospective Agricole Rurale (IPAR)

« Résilience et adaptation des agriculteurs, transition agroécologique et souveraineté alimentaire », thème retenu pour la 4ème édition de la Conférence intensification durable ouverte ce matin. Durant trois jours, des experts de l’ISRA, du Centre de coopération Internationale en Recherche Agronomique pour le Développement (CIRAD) et la Dynamique pour une Transition Agroécologique au Sénégal (DYTAES) et l’Initiative Prospective Agricole et Rurale (IPAR), initiatrice de cet événement vont réfléchir sur la question en comparant leurs techniques agricoles respectives.
Dr Laure TALL, Directrice de recherches à l’IPAR au micro de Seynabou DIALLO

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Invité : Boubacar Sall, Président du Collège des producteurs d’oignon

La campagne de commercialisation de l’oignon local est actuellement au ralenti. Les causes sont multiples malgré la production record notée. Elles ont pour noms, mévente, bradage, manque de chambres froides. Pour le Collège des producteurs d’oignon, les autorités doivent rallonger les exportations vers la sous-région jusqu’au mois de juin.
Écoutons Boubacar SALL, leur Président, dans un entretien qu’il a accordé à Seynabou DIALLO

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Invité : Papa Djibril Ndiaye, Président de l’ASDIC

L’implantation de cette usine de ciment à Bargny suscite des arguments différents chez l’Association Sénégalaise de Défense des Intérêts des Consommateurs (ASDIC). Son Président affirme que c’est une bonne chose en ce sens qu’elle va générer de l’emploi et réduire le prix du ciment. Papa Djibril Ndiaye signale cependant que des risques sur la santé peuvent aussi subvenir.
Il est joint par Seynabou DIALLO

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Invité : Abdoulaye Sy, Chef de la Division des évaluations environnementales

Le Sénégal s’apprête à accueillir une nouvelle usine de cimenterie. Cette dernière, quatrième du genre, verra le jour à Bargny. Le Chef de la Division environnementale à la Direction de la Règlementation Environnement et du Contrôle rassure et informe qu’une étude d’impact a été faite par rapport à ce projet. Abdoulaye Sy déplore toutefois le fait que les populations n’ont pas laissé à l’autorité le soin d’organiser l’audience publique pour expliquer les tenants et les aboutissants dudit projet.
Propos recueillis par Seynabou DIALLO

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Président Bassirou Diomaye Faye en Mauritanie : Les enjeux de cette visite

Visite du Président de la république Bassirou Diomaye Diakhar Faye en Mauritanie. Occasion de revenir sur les accords de coopération qui lient les deux pays. Initialement annoncé hier, le Chef de l’Etat est attendu finalement ce jeudi à Nouakchott. Un déplacement qui peut se justifier par le fait que ces deux pays entretiennent de bons rapports de coopération dans presque tous les secteurs. Des relations allant de la sécurité, aux hydrocarbures, en passant par l’hydraulique et l’environnement, l’énergie, la pêche, l’agriculture, les finances publiques, les questions fiscales et douanières, les infrastructures de transport entre autres.
Plus de détails avec Seynabou DIALLO

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Invité : Fatoumata Niang Ba, Directrice générale de la SEMIG

Le non-respect de l’arrêté du Gouverneur interdisant les camions de fruits et légumes de rentrer dans la capitale est dû à un frein du côté des autorités administratives pour l’essor du Marché d’Intérêt national. Affirmation faite par la directrice de la Société du Marché d’Intérêt National de la Gare des gros Porteurs (SEMIG). Fatoumata Niang Ba ajoute que souvent les commerçants ont peur du changement même si on leur a accordé un mois de gratuité. Par ailleurs, elle travaille à rendre actif ce marché d’un investissement de plus de 45 milliards.
Elle est interrogée par Seynabou DIALLO

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