Auteur : khadija bousso seck
Pour permettre aux Sénégalais d’avoir un mouton à bon prix, plusieurs mesures ont été prises par le gouvernement. Au nombre desquelles figurent la subvention à 5.000 francs du prix de l’aliment de bétail, la mise en place de points sanitaires rapprochés, la fourniture d’électricité et d’eau, le nettoyage des points de vente autorisé. Au niveau de Liberté 5 et 6, les vendeurs de moutons trouvés sur place affirment que ces instructions ont été respectées.
Reportage Seynabou Gaelle DIONG
Plusieurs projets de développement dans les communes ont été retardés par l’imprécision des limites territoriales. Selon le nouveau Directeur général de l’Agence Nationale de l’Aménagement du Territoire (ANAT) qui donne l’information, la mise à l’échelle des outils de planification spatiale de l’ANAT favorisera une meilleure maitrise de l’information territoriale et de l’assiette foncière. Tidiane Sidibé présidait hier l’atelier de capitalisation sur la démarche d’élaboration de ses outils de planification qui prend fin aujourd’hui.
Propos recueillis par Aminatou DIALLO
Depuis hier, le Sénégal est entré dans le Club des pays producteurs de pétrole. En effet, la société Woodside a extrait hier le premier baril du champ Sangomar. La Coalition Publiez ce que vous payez salue mais émet des réserves car le Sénégal ne dispose pas de moyens nécessaires pour mitiger les effets néfastes d’une telle production. L’Association Sénégalaise pour le Développement de l’Energie en Afrique estime que s’il y a une transparence dans la gestion, le Sénégal pourra éviter la malédiction du pétrole.
Reportage Seynabou DIALLO
L’entrée en production du pétrole au Sénégal est bien appréciée par la Coalition Publiez ce que vous payez. Son Coordonnateur estime que la nouvelle suscite beaucoup d’enthousiasme sur le plan économique avec les avantages liés au contenu local. Toutefois, il ne cache pas son inquiétude face à un environnement fébrile à l’écosystème car le Sénégal n’a pas réuni tous les moyens pour mitiger les effets néfastes d’une telle production.
Demba SEYDI est joint par Seynabou DIALLO
D’après Mignane Diouf, malgré la remise en question de la CEDEAO il y’a plusieurs défis auxquels les Etats membres doivent faire face. Des défis qui ont pour noms stabilité, démocratie, changements climatiques et construction d’un Etat fédéral fort. Aucun pays ne peut réussir en autarcie à faire face aux enjeux migratoires dans l’espace CEDEAO. Il appelle donc les Etats à revoir certains mécanismes de gouvernance de cet instrument d’intégration. Le Coordonnateur du Forum Social Sénégalais s’exprimait en marge de l’atelier de restitution de l’IPAR sur la migration.
Nous l’écoutons au micro de Sadio SYLLA
Dans un contexte de souveraineté alimentaire mondiale complexe, le Sénégal est convié au Salon International de l’Alimentation. Comment valoriser les produits agricoles ? Comment pourrait-il exporter ses produits locaux transformés ? Des défis auxquels le Sénégal doit faire face. C’est ce qu’on Ïpeut retenir de la conférence de presse du Directeur général du SIAL de passage au Sénégal pour sa tournée de préparation de l’événement prévu à Paris du 19 au 23 octobre prochain.
Compte rendu Seynabou DIALLO
A partir du 11 juin, les frais de demande de visa vont augmenter de 12% pour les ressortissants des pays tiers dont le Sénégal. Ainsi, le droit pour un visa va passer de 80 à 90 euros pour les adultes et de 40 à 45 euros pour les enfants. La Commission Européenne justifie cette hausse par l’inflation dans les Etats membres. Les Sénégalais jugent cette hausse inacceptable au vu de la lourdeur actuelle notée dans l’obtention des visas. Il plaide ainsi pour la réciprocité du visa.
Reportage Seynabou Gaelle DIONG
La mise en œuvre des nouvelles orientations du ministère de l’enseignement supérieur est impossible selon Ibrahima Dally Diouf. Le Directeur de l’IFACE et enseignant à la FASEG affirme que les autorités se sont trompées d’interlocuteurs en planifiant les nouvelles stratégies de développement de l’enseignement supérieur. Il ajoute qu’il y’a des préalables sur lesquels les autorités n’ont aucune lisibilité. Ce qui risque d’anéantir les efforts notamment au plan pédagogique et des infrastructures dans les universités.
Ibrahima Dally DIOUF est au micro de Sadio SYLLA
