Difficile de se rendre en ville en cette veille du Grand Magal de Touba. Trouver un moyen de transport devient un casse-tête pour ces Dakarois rencontrés. Tous les véhicules n’ont qu’une seule destination, la ville sainte. Un motif pour certains chauffeurs d’augmenter les tarifs.
Reportage Coura KA
3.000 francs pour rallier Touba, c’est le prix du ticket de transport présentement. Les chauffeurs et passagers de bus horaire trouvés à Bountou Pikine jugent les prix abordables. Cette année, ces chauffeurs promettent de ne pas procéder à l’augmentation du tarif même s’il y a de longues files d’attente.
Reportage Maty Sarr NIANG
Dans sa politique d’arriver à zéro déchet au Sénégal, le Président Macky Sall envisage des cleaning days, communément appelées journées de nettoiement. Prévue le premier samedi de chaque mois, cette initiative est saluée par certains Sénégalais trouvés dans les rues de Dakar. Ils appellent cependant à un suivi pour la concrétisation de ce programme.
Oumy DIOP
Mot d’ordre illimité de port de brassard rouge des travailleurs de la Sénégalaise Des Eaux. Parmi leurs revendications, l’acquisition de 15% de la nouvelle société d’affermage de l’eau. L’explication est du Coordonnateur du cadre des syndicats de la SDE. Elimane Diouf d’assurer que les travailleurs comptent passer à la vitesse supérieure s’ils n’obtiennent pas gain de cause.
Ecoutons sa réaction au téléphone de Mbayang COR
Zéro bidon ville, zéro déchet et un accès universel aux services de base (eau, électricité, transports, entre autres), une ambition affichée par le Sénégal. Macky Sall sollicite l’appui des élus locaux pour réaliser toutes ces ambitions d’ici les 5 ans à venir. Le Chef de l’Etat qui a présidé hier la rencontre des élus a évoqué la territorialisation des politiques publiques dans la mise en œuvre du Plan Sénégal Emergent.
Nous l’écoutons au micro de Maty Sarr NIANG
Rencontre avec les élus locaux : l’Association des Maires du Sénégal demande une allocation de 10% du budget national aux collectivités locales. Dans ce contexte de mise en œuvre de la décentralisation, les communes souffre d’un déficit de moyens, souligne l’AMS. Au cours de cette rencontre, le Président de l’Association des Maires a appelé à une revalorisation du statut de maire au Sénégal.
Compte rendu Maty Sarr NIANG
Vers l’instauration à nouveau du visa biométrique au Sénégal, le ministre de l’intérieur l’a annoncé récemment. Pour le Secrétaire général de l’Agence Sénégalaise pour la Promotion Touristique, les gens s’interrogent sur le mode opératoire qui sera mis en place. Mamadou Diallo d’ajouter que si c’est le même procédé que celui de 2013 qu’il qualifie d’un vrai parcours de combattant, le visa ne passera pas. Par ailleurs, il estime que le problème touristique sénégalais c’est l’offre qu’il faut améliorer.
Nous l’écoutons au téléphone de Seynabou DIALLO
Enseignement supérieur : à Matam, le mouvement PELITAL monte au créneau et dénonce l’inexistence d’une université dans la région. Elimane Fall somme les nouveaux bacheliers à ne pas choisir cette faculté »fantôme ». Selon les autorités, la fin des travaux était fixée au mois d’octobre 2017. Le Président du mouvement suggère la location de bâtiments à l’Etat pour l’accueil provisoire des étudiants.
Elimane FALL Président du mouvement PELITAL est joint au téléphone par Seynabou Gaëlle DIONG
Cécité, cataracte, trachome, entre autres maladies de la vue qui existent au Sénégal. La cécité a un taux de prévalence de 1,42%, plus de 50 mille mal voyants dénombrés selon le dernier recensement du ministère de la santé. En cette journée mondiale de la vue, le Sénégal marque l’événement dans la région sud avec plusieurs activités au menu. Selon le Coordonnateur national du Programme de la santé oculaire au ministère de la santé, certaines maladies de la vue sont liées à la pauvreté tel le trachome. Cependant, Dr Mouctar Dieng Badiane estime que le Sénégal est en phase d’éliminer cette maladie suite à des efforts considérables.
Nous l’écoutons au micro de Seynabou DIALLO
Les pêcheurs sont divisés sur la pertinence du projet pour remplacer les embarcations artisanales en bois. Nombreux sont ceux qui estiment que les pirogues en fibre de verre ne répondent pas aux besoins des pêcheurs et à la configuration actuelle des plages et autres quais de pêche. Cependant, d’autres saluent l’initiative et affirment tout le contraire.
Ces pêcheurs rencontrés au quai de pêche de Ouakam sont au micro de Sadio SYLLA
