Catégorie : A la Une

Invité : Gnambi Sonko, Spécialiste des questions agricoles sur la pause pluviométrique

Gnambi Sonko est l’invité du journal. Le Spécialiste des questions agricoles revient sur la pause pluviométrique notée au Sénégal. Il est d’avis que si cette pause continue au-delà du 15 aout, elle pourrait avoir des conséquences sur les cultures. Il invite les autorités à changer de stratégie agricole.
Gnambi SONKO est interrogé par Seynabou Gaelle DIONG

Suspension des exportations du riz indien : Les effets ne se font pas encore ressentir

Le Sénégal ne ressent pas encore les impacts de la suspension par l’Inde de ses exportations de riz depuis le 20 juillet dernier. Pour l’heure, les commerçants assurent que le riz est disponible et que le kilogramme est vendu à 350 francs. Avec le Sénégal qui est fortement dépendant du riz indien, les impacts risquent cependant de se faire ressentir dans les jours à venir.
Reportage Oumy DIOP

Suspension de l’exportation du riz indien : Va-t-on vers une pénurie?

Va-t-on vers une pénurie de riz au Sénégal avec la suspension des exportations de l’Inde depuis le 20 juillet ? Importateurs et commerçants ont un avis mitigé sur la question. Si le premier répond par l’affirmative, le second estime que les autorités prendront les devants pour juguler la situation. Cependant, les importateurs conseillent de se rabattre sur les pays comme le Pakistan, le Vietnam et la Thaïlande. Toutefois, ils craignent que leurs prix soient plus chers sur ces marchés.
Seynabou DIALLO

Invité : Moustapha Tall Importateur sur la suspension des exportations de riz de l’Inde

Va-t-on vers une pénurie de riz au Sénégal avec la suspension des exportations de l’Inde depuis le 20 juillet ? L’importateur de riz répond par l’affirmative. Moustapha Tall estime que le Sénégal ne doit pas compter sur l’importation pour vivre. Comme solution alternative, il préconise de se rabattre sur les pays comme le Pakistan, le Vietnam et la Thaïlande. Seul bémol, leurs prix peuvent être chers.
Moustapha TALL est interrogé par Seynabou DIALLO

Collectivités territoriales : Une grève de 96h toutes les semaines décrétée par le Syndicat

96h de grève toutes les semaines à partir du 15 août, c’est le mot d’ordre décrété par le Syndicat national des travailleurs des collectivités territoriales. Il s’indigne contre les lenteurs dans l’application des augmentations de salaires et la régularisation des travailleurs. Ces membres qui dénoncent le manque de volonté de l’État se disent déterminés à le contraindre à respecter ses engagements. Le Syndicat des travailleurs des collectivités territoriales a fait face à la presse ce matin.
Compte rendu Sadio SYLLA

Approvisionnement du marché : Les producteurs confrontés à un déficit de chambre froide

Justement en 2021, le Président de la république avait dégagé 2 milliards FCFA, pour la construction de chambres froides et de magasins de stockage. Qu’est ce qui retarde la matérialisation de ce projet dans un contexte où de grandes performances agricoles ont été réalisées avec la production de fruits et légumes qui a atteint 1,6 million de tonnes en 2021-2022. Il faut aussi signaler que le Sénégal perd chaque année plus de 25% de ses récoltes d’après une étude de l’IPAR faute de manque d’infrastructures de stockage.
La réponse dans cet élément d’Aminatou DIALLO

Hausse vertigineuse des denrées : Le panier de la ménagère difficile à remplir

Remplir le panier de la ménagère, exercice difficile en ce moment. Pour cause de l’inflation tous azimuts des prix de presque toutes les denrées de première nécessité. En effet, des légumes en passant par la viande ou le poulet, tout est cher. En atteste le kilogramme de carotte qui est à 1.400 francs et la pomme de terre à 1.000 francs. La viande, elle, est à 4.300 voire 5.000 francs. Commerçants et vendeurs ne cachent pas leur inquiétude avec les prix qui ne cessent de flamber. D’ailleurs, les 5.000 francs de dépense quotidienne ne suffisent plus.
Reportage Seynabou DIALLO

Les produits locaux restent chers malgré la subvention allouée aux producteurs

Le prix de l’oignon local frôle actuellement les 1.000 francs à Dakar et même plus dans certaines régions du Sénégal. Un fait qui devient de plus en plus récurrent au Sénégal. Pourtant, les producteurs locaux bénéficient de la part de l’Etat de subvention. En plus, le marché des importations est parfois gelé des mois pour leur permettre d’écouler leur production. Comment expliquer alors que ces produits cultivés au Sénégal soient vendus à des prix aussi élevés ? Quels sont les moyens à mettre en place pour éviter telle situation ?
La réponse à suivre dans cet élément de Seynabou Gaelle DIONG

YouTube