Catégorie : Consommation

5ème conférence de la FANUS : L’Afrique à la recherche de financement pour la nutrition

Dakar abrite la 5ème Conférence de la Fédération des Sociétés Africaines de Nutrition. Durant 5 jours, les experts en nutrition, universitaires et partenaires techniques et financiers vont échanger sur comment mobiliser des ressources pour le financement de la nutrition en Afrique. Organisée en Afrique francophone pour la 1ère fois, la rencontre a pour thème « Appropriation de la nutrition par tous les secteurs ».
Compte rendu Seynabou DIALLO

Invité : Momath Cissé, Vice-président de l’ASCOSEN sur le prix du pain

Momath Cissé est l’invité du journal. Le Vice-président de l’ASCOSEN revient dans cet entretien sur la décision du gouvernement qui n’envisage aucune hausse sur le prix du pain. Pour lui, la révision du prix du pain est assignée à un régime particulier. Ainsi, il appelle les boulangers à respecter le protocole tripartite signé entre le ministère de l’énergie, celui du commerce et la FNBS.
Entretien réalisé par Seynabou DIALLO

Cuisses de poulets importées : Qu’est ce qui justifie sa présence sur le marché?

Les cuisses de poulets importées sont vendues sur le marché actuellement en dépit de l’interdiction de l’importation de mise depuis 2005. Le Directeur du Centre Avicole de Mbao, Dr Makhtar Diouf, confirme cette présence et la justifie par la faible production et la cherté des cuisses de poulets locales. De concert avec l’expert avicole, Dr Amadou Guèye, ils informent que la consommation de cuisses de poulets importées n’est pas sans conséquence sur la santé.
Aminatou DIALLO

Les cuisses de poulets importées inondent le marché malgré leur interdiction

Après l’interdiction de l’importation de la viande de poulet en 2005 suite à l’apparition de la grippe aviaire, certains commerçants continuent de vendre des cuisses de poulets importées. C’est le cas au marché Sandaga et Kermel. Les cuisses importées exposées en plein soleil sont vendues entre 2.000 et 2.200 le kilogramme.
Reportage Oumy DIOP

Invité : Ibrahima Dramé, Président de l’Union Nationale des Consommateurs du Sénégal (UNCS)

Ibrahima Dramé est l’invité du journal. Le Président de l’Union Nationale des Consommateurs du Sénégal (UNCS) revient sur la polémique sur les compteurs woyofal qui est de mise depuis un certain temps. Selon lui, la SENELEC ne communique pas assez et ne donne pas les bonnes informations à la clientèle.
Suivons cet entretien réalisé par Sadio SYLLA

Hausse vertigineuse des denrées : Le panier de la ménagère difficile à remplir

Remplir le panier de la ménagère, exercice difficile en ce moment. Pour cause de l’inflation tous azimuts des prix de presque toutes les denrées de première nécessité. En effet, des légumes en passant par la viande ou le poulet, tout est cher. En atteste le kilogramme de carotte qui est à 1.400 francs et la pomme de terre à 1.000 francs. La viande, elle, est à 4.300 voire 5.000 francs. Commerçants et vendeurs ne cachent pas leur inquiétude avec les prix qui ne cessent de flamber. D’ailleurs, les 5.000 francs de dépense quotidienne ne suffisent plus.
Reportage Seynabou DIALLO

Flambée du prix de l’oignon : La hausse du dollar à l’origine, selon les commerçants

De 16 dollars, le prix à l’importation de l’oignon est passé de 20 à 23 dollars. D’après les opérateurs économiques, cette situation est à l’origine de la hausse du prix de l’oignon qui est actuellement vendu entre 1.000 et 1.200 francs sur le marché sénégalais. Ces derniers déplorent cette situation et pointent du doigt certains commerçants qui font de la surenchère.
Reportage Seynabou DIALLO

Invité : Momath Cissé, vice-président de l’ASCOSEN sur la hausse du prix de l’oignon

Hausse vertigineuse du prix de l’oignon, ASCOSEN s’insurge et pointe du doigt le gouvernement. Son vice-président estime que l’Etat a failli dans sa mission de protéger les consommateurs. Momath Cissé soutient qu’il avait déjà alerté sur le sujet à la veille de la Tabaski.
Nous l’écoutons au téléphone de Seynabou DIALLO

Hivernage : Le poisson se fait rare à Tambacounda, son prix hors de portée

A Tambacounda et Kédougou, il est de plus en plus difficile de trouver du poisson. Les mareyeurs sont formels, en cet hivernage le poisson est devenu très cher au niveau des quais de Dakar, Thiès, Saint-Louis et Ziguinchor, principaux points de ravitaillement en produits halieutiques. Conséquence, le prix du kilogramme coûte entre 3.500 et 5.000 francs. Le Président des mareyeurs de Tambacounda, Mbaye Diop, pointe du doigt le manque de chambres froides pour la conservation des produits.
Reportage Sadio SYLLA

Baisse de la production locale de lait : Les vendeurs de lait donnent les raisons

Difficile de se procurer du lait local en cette période de l’année. Un dysfonctionnement dans l’approvisionnement qui s’explique par la cherté de l’aliment de bétail et la faiblesse du tapis herbacé. Les vendeurs de lait au marché de Tilène déplorent la baisse des productions journalières et pointent du doigt la concurrence du lait en poudre et le manque d’unités de conservation et de transformation. Cependant, ils informent que les prix du lait sont accessibles et varient entre 250, 500 et 6.000 francs.
Reportage Sadio SYLLA

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