Catégorie : Invité du jour
Le Chef du Service départemental commerce de Pikine, Mamadou Lamine Ndiaye est l’invité du journal. Dans cet entretien, le commissaire aux enquêtes économiques réfute les informations faisant état d’une hausse du prix du riz non parfumé. Il va plus loin et parle de fausses rumeurs. Toutefois, il précise que ce riz n’étant pas homologué reste soumis à un régime libéral.
Entretien signé Sadio SYLLA
Le Président de la Chambre de commerce de Ziguinchor est l’invité du journal. Avec Seynabou Diallo, Pascal Ehemba revient sur la reprise des activités du Port de Ziguinchor avec l’arrivée du bateau Djilor. Une aubaine, selon lui, pour tous les acteurs qui s’activent dans la filière anacarde. Pour une relance durable, le soutien de l’Etat s’avère nécessaire car un seul navire ne suffit pas.
Suivons leur entretien
Toujours au chapitre des réactions, Birahim Seck milite pour des réformes en profondeur pour la modernisation de la justice. Pour le Coordonnateur du Forum Civil, il faut décentraliser les chambres administratives au niveau territorial pour permettre aux populations des zones reculées d’accéder aux services de la justice. Une réflexion sur la mobilisation des ressources financières s’impose pour la matérialisation de ce processus.
Propos recueillis par Aminatou DIALLO
Le prix de la pomme de terre est en hausse actuellement sur le marché. Le sac de 25 kg est vendu jusqu’à 13.500 francs dans certaines zones, d’après l’Agence de Régulation des Marchés. Son Directeur, Ansoumana Sané, qui parle de légère hausse, justifie cela par l’épuisement du stock des petits producteurs locaux de pomme de terre et l’application du prix stockeur. Il rassure cependant qu’il n’y aura pas de risque de pénurie d’ici la Tabaski car la pomme de terre est disponible et en quantité suffisante.
Il est interrogé par Seynabou DIALLO
10 milliards, c’est le montant de la dette que l’Etat doit aux établissements privés d’enseignement supérieur. Réuni en atelier de réflexion approfondie ce matin, le CUDOPES (Organisation des Etablissements Privés d’Enseignement Supérieur) entend mettre sur pied une semaine nationale pour définir une stratégie destinée à résoudre les problèmes liés à la stabilisation du calendrier universitaire, à l’absorption des étudiants et l’assurance qualité des cours dispensés.
Amadou DIAW Fondateur du Groupe ISM interrogé par Seynabou Gaelle DIONG
Boubacar Konta est l’invité du journal. Le Président de la filière anacarde revient dans cet entretien sur la campagne de commercialisation de la noix qui a démarré avec une baisse de production qui a engendré une augmentation du prix du kilogramme estimé à 725 francs. Il est également revenu sur les mesures prises par le ministre de l’industrie et du commerce dans le cadre de la campagne de commercialisation. Des mesures auxquelles il adhère.
Entretien réalisé par Seynabou DIALLO
1.667 plaintes individuelles ont été déposées dans les différentes inspections du travail du Sénégal en 2023, pour 901 conciliations totales. Plus de 5 mille contrôles sont effectués dans les entreprises chaque année. Ces chiffres sont donnés par l’Amicale des Inspecteurs et Contrôleurs du Travail et de la Sécurité Sociale (AICTSS) à l’occasion des journées du monde du travail. Organisées aujourd’hui et demain, ces journées ont pour thème « la législation sociale sénégalaise face aux nouveaux enjeux et mutations du monde du travail ».
Ndiaga NDIAYE Président de l’Amicale au micro de Aminatou DIALLO
Le Syndicat national des travailleurs et techniciens de l’agriculture a renouvelé son mot d’ordre de grève de 48 heures bouclé ce mercredi. Son Secrétaire Général qui salue les engagements pris par les autorités, a décidé de suspendre le boycott de la campagne agricole. Mor Diouf soutient que malgré le fait qu’ils aient été reçus par un collaborateur du ministre de l’agriculture, ils restent sur leur position concernant la résolution des problèmes dans les centres de formation agricole.
Il est interrogé par Oumy DIOP
Le réexamen des conventions du secteur minier, pétrolier et halieutique demandé par le premier ministre hier en conseil des ministres, ne remet pas en cause les contrats initiaux, soutient le Coordonnateur de l’Observatoire de la RADDHO. Sengane Senghor de soutenir que cela va juste permettre d’avoir un état des lieux. La grande difficulté, selon lui, pour le gouvernement actuel sera la renégociation des contrats avec le risque du piège de l’arbitrage qui demeure.
Nous l’écoutons au micro de Seynabou Gaelle DIONG
Il urge de réexaminer certaines conventions notamment dans les secteurs minier, pétrolier et halieutique et de procéder à la revue des finances publiques allant du 1er janvier 2019 au 31 mars 2024, selon le premier ministre hier en conseil des ministres. Dr Mamadou Samba Hann soutient que le nouveau régime cherche ainsi à faire l’état des lieux qui permet d’améliorer et de rediscuter les nouveaux contrats. L’économiste soutient que le Sénégal perd énormément dans les contrats signés dans les secteurs minier, pétrolier et halieutique.
Il est joint au téléphone par Seynabou Gaelle DIONG