Catégorie : Seynabou Gaelle Diop

Invité du jour : Lamine SENE, Président du Cadre de Concertation des Opérateurs de la filière anacarde de la Casamance

La campagne de commercialisation de l’anacarde qui démarre ce mois de mars risque de connaitre le syndrome de l’arachide. Après l’arrêté interdisant l’exportation par voie terrestre par le ministre du commerce, les acteurs dénoncent une décision inopportune qui risque de prolonger la durée de commercialisation qui, d’habitude, dure 45 jours. Pour le Président du Cadre de Concertation des Opérateurs de la filière anacarde de la Casamance, cette décision va entrainer des risques de mévente et la fuite des acheteurs vers d’autres pays.

Lamine SENE est joint au téléphone par Seynabou Gaelle DIONG

Journée du 8 mars : Les femmes de la Commune de Keur Socé dénoncent le manque de moyens dont elles font l’objet

Les femmes de la commune de Keur Socé dénoncent le manque de moyens dont elles font l’objet. Pas d’accès à la terre, pas de matériels agricoles, encore moins d’engrais et de semences. La Présidente de la centrale d’achat agricole de Keur Socé déplore le fait que les hommes s’accaparent de toutes les terres disponibles dans la commune. Elle appelle le gouvernement à être équitable dans sa gestion pour les aider dans leur travail.

Marianne Diagne FAYE présidente du contrôle d’achat agricole de Keur Socé au téléphone de Seynabou Gaelle DIONG

Invité du jour : Commandant Mamadou Ndiaye, Directeur de la Protection et de la Surveillance des pêches

Récurrence des accidents en mer, météo défavorable, deux phénomènes dont sont victimes les pêcheurs artisanaux. Face à cette situation, la Direction de la Protection et de la Surveillance des pêches a visité 3 quais de pêche de la capitale pour sensibiliser davantage les pêcheurs sur la question. Elle a également profité de l’occasion pour informer les pêcheurs sur le respect du port du gilet en mer et l’importance de la géolocalisation en cas de disparition en mer.

Commandant Mamadou NDIAYE Directeur de la DPSP au micro de Seynabou Gaelle DIONG

Invité du jour : Amadou Lamine Diagne, Consultant en économie sur les comptes dormants

22 mille milliards FCFA sont oubliés dans les banques du continent. Ces fonds dormants peuvent aider les Etats à réaliser des infrastructures et créer de l’emploi pour les jeunes, selon Vera Songwe présidente du Conseil d’Administration de la Commission des Nations-Unies pour l’Afrique. Mais pour Amadou Lamine Diagne, ces capitaux ne sont pas dormants car utilisés par les banques pour les opérations de prêts bancaires. Seuls la Banque Centrale et les gouvernements doivent élaborer un cadre juridique pour trouver une solution définitive pour le traitement à apporter à ces comptes inactifs, précise Amadou Lamine Diagne.

Il est joint au téléphone par Seynabou Gaëlle DIONG

Filière anacarde : Les Etats-Unis au chevet du Sénégal, de la Gambie et de la Guinée Bissau

Les Etats-Unis au chevet des acteurs de la filière anacarde du Sénégal, de la Gambie et de la Guinée Bissau. C’est ainsi que 41 millions 140 mille dollars sont mis à la disposition de ces pays pour leur permettre de développer cette filière au cours des trois prochaines années. Le Cadre de Concertation de la filière applaudit des deux mains cet appui, mais souhaite que cette somme soutienne les projets de base et non les projets américains.

Ibrahima Khalil Sagna est joint au téléphone par Seynabou Gaelle DIONG

Invité du jour : Professeur Malick SANE, économiste-enseignant à l’UCAD

Le Sénégal ambitionne de travailler à développer davantage les zones économiques spéciales. Une perspective qui devrait conduire à la mise en place d’un hub logistique. Pour l’économiste Malick Sané, ces zones économiques peuvent aider le Sénégal à créer de la valeur à travers la transformation des matières premières et générer plus tard des profits pour le pays. L’Etat doit faciliter le travail pour le secteur privé en contraignant les investisseurs à collaborer avec le privé national tout cela dans le but de permettre aux zones économiques spéciales d’atteindre leur objectif.

Professeur Malick SANE est interrogé par Seynabou Gaelle DIONG

Indice de perception de la corruption de Transparency International : Le Sénégal 66ème mondial et 8ème africain

66ème au niveau mondial et 8ème au plan africain, le Sénégal ne bouge pas de son classement concernant l’indice de perception de la corruption de Transparency International qui concerne 180 pays. Cloué dans la zone rouge, cet indicateur reflète la situation que vivent les populations. D’après ces dernières, la corruption est un fléau difficile à combattre. Néanmoins, elles suggèrent de continuer la sensibilisation pour inculquer aux plus jeunes de bonnes valeurs.

Reportage Seynabou Gaëlle DIONG

SENCON 2018 : Plus de 150 exposants venus du Maghreb, de l’Europe et de l’Asie ont répondu présents

Plus de 150 exposants venus du Maghreb, de l’Europe et de l’Asie prennent part depuis ce matin au Salon International de la construction, de la finition et de l’infrastructure. Prévu jusqu’au 23, ce Salon entend se focaliser sur la finition des matériaux de construction et de l’infrastructure. SENCON constitue également une tribune importante pour le commerce du Sénégal en ce sens qu’il le met en valeur parmi les pays de l’Afrique de l’Ouest.

Compte rendu Seynabou Gaelle DIONG

Invité du jour : Amadou Lamine Diagne, consultant, cadre de banque

Bale 2 et 3 sont des normes de gestion et de contrôle du secteur français. Ces normes prudentielles doivent permettre de réorganiser le secteur bancaire dans la zone CEDEAO. Mais depuis sa mise en œuvre, les normes prudentielles suscitent des inquiétudes de la part des banques qui ne sont pas prêtes à réaliser la totalité de la réforme sur une période courte. Pour Amadou Lamine Diagne, seule la Banque Centrale peut décider des sanctions pour les banques réfractaires. Mais ce consultant, cadre de banque d’ajouter que la mise en œuvre des recherches faites par la Banque Centrale auprès des institutions financières prendra du temps car les banques sont différentes les unes des autres.

Amadou Lamine DIAGNE est joint au téléphone par Seynabou Gaëlle DIONG

Invité du jour : Professeur Claude Moreira, Président de l’Unité d’Oncologie pédiatrique de l’Hôpital Aristide Le Dantec

Le Cancer de l’enfant se guérit, c’est le message que lance le Président de l’Unité d’Oncologie pédiatrique de l’Hôpital Aristide Le Dantec en cette journée mondiale du cancer célébrée ce 15 février. 700 nouveaux cas de cancer du sang, du ganglion ou le cancer du cerveau sont enregistrés chaque année, un chiffre qui ne baisse pas. Cette journée est donc l’occasion de mieux faire connaitre cette réalité qui touche les enfants. L’unité d’Oncologie a mis en place, avec l’appui du ministère de la santé, un programme de sensibilisation au niveau des médecins et des populations pour que le diagnostic soit le plus précoce possible.

Professeur Claude Moreira est joint au téléphone par Seynabou Gaëlle DIONG

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