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Chaque année, nous générons 50 millions de tonnes de déchets électroniques dans le monde avec une croissance de 3 à 5%. L’affirmation est de l’environnementaliste sénégalais Dr Diomaye Dieng. De ces déchets électroniques subsistent des substances chimiques telles que le plomb, le mercure, l’aluminium, entre autres. Au Sénégal, cette situation impacte négativement l’environnement et la vie des populations mais aussi l’économie à plusieurs niveaux. L’achat récurrent d’appareils électroniques, création de richesses par le recyclage de ces appareils.
Nous l’écoutons au téléphone de Seynabou DIALLO
Vers la systématisation de l’autorisation de fabrication des produits alimentaires. Le Sénégal est dans cette dynamique dont l’objectif est de garantir la sécurité sanitaire des aliments. Le Directeur du LANAC qui donne l’information a affirmé que cela va permettre aussi de mieux contrôler les produits locaux afin de rendre pérenne le made in Sénégal. Il s’agit principalement des circuits de distribution des céréales locales.
Bakary DIATTA que nous écoutons au téléphone de Seynabou DIALLO
En 2022, 804 PME ont bénéficié de financement avec un encours de 350 milliards FCFA contre 250 milliards en 2019. L’annonce est du Directeur national de la BCEAO lors de l’atelier de partage sur les recommandations issues des concertations sur l’amélioration de l’accès au financement des PME. Au-delà des financements, le Président de la CNES invite les Chefs d’entreprises à être beaucoup plus créatifs proposant à aller vers une union des patronats. Une condition sine qua non pour être efficace dans la mise en œuvre des politiques publiques, a ajouté Adama Lam.
Aminatou DIALLO nous fait le point
Les produits congelés tels que la viande, le poisson ou la volaille sont des porteurs de maladies potentielles pour les consommateurs. L’alerte est du Directeur du LANAC qui précise que les congélations et décongélations répétitives peuvent faire perdre à l’aliment ses valeurs nutritives. Il préconise ainsi de veiller au contrôle strict de ces aliments.
Reportage Seynabou DIALLO
Pour éviter la rareté du poisson sur le marché, l’Etat a initié l’aquaculture, forme d’élevage où beaucoup de Sénégalais s’activent de plus en plus. Même si certains y trouvent leur compte, d’autres réclament plus d’infrastructures piscicoles, de meilleures conditions de travail, mais aussi des formations pour mieux développer leur secteur. Ce secteur qui constitue d’ailleurs une alternative face à la raréfaction des produits halieutiques.
Reportage Oumy DIOP
Le gouvernement rassure la Société civile sur l’application des 85 recommandations demandées par la Cour des Comptes dans le rapport final sur la gestion des fonds force covid 19. Le Président du Forum du Justiciable qui a pris part aux concertations organisées par le Premier ministre est sorti réconforté des échanges avec les membres du gouvernement. Babacar Ba de confirmer de l’implication entière de la société civile sur le déroulement des procédures administratives et judiciaires.
Babacar BA est joint par Seynabou Gaelle DIONG
Le Sénégal dépend beaucoup de l’aliment piscicole importé. Ce qui représente plus de 50% du coût de production du poisson. Cette alerte est du Secrétaire exécutif de l’Association Ouest Africaine pour le Développement de la Pêche Artisanale (ADEPA). D’après Moussa Mbengue, face à la rareté du poisson, l’aquaculture peut être une alternative pour pousser les Sénégalais à consommer davantage les produits aquacoles.
Il est interrogé par Oumy DIOP
Le Directeur de la BCEAO se dit conscient des contraintes que rencontrent les PME-PMI. Al Aminou Lo d’indiquer que la souveraineté alimentaire ne peut s’atteindre sans la contribution de ces entreprises. Pour cela, le gap à combler reste immense. Il participait à l’atelier de partage avec le secteur privé national organisé par le ministère du commerce.
Al Aminou LO est au micro d’Aminatou DIALLO