Catégorie : Abdoul Aziz NDIANE
Ouverture aujourd’hui de l’atelier de validation des critères de ciblage de priorisation des actions et d’identification des besoins en renforcement de capacités des jeunes agriculteurs. Cette rencontre de deux jours se fixe comme objectif d’analyser et d’évaluer les critères de ciblage des projets et programmes d’appui aux jeunes agri entrepreneurs et d’élaborer une grille d’analyse des projets d’investissements. Objectif de ce programme, rendre ces critères plus accessibles aux jeunes qui souhaitent investir dans l’agriculture.
Compte rendu Abdoul Aziz NDIANE
16 morts, c’est le bilan provisoire du chavirement d’une pirogue ce lundi sur la plage de Ouakam vers la Mosquée de la Divinité. L’origine de l’incident de même que l’identité des victimes restent méconnues. La Marine Nationale, les sapeurs-pompiers et la Police sont toujours à la recherche d’autres victimes. Ndèye Top Guèye, première adjointe au maire, informe que le bilan pourrait s’alourdir.
Nous l’écoutons au micro de Abdoul Aziz NDIANE
Au marché Ngélaw, les vendeurs et clients rencontrés déplorent la mauvaise qualité de la pomme de terre locale qui se conserve difficilement. En plus de cela, les prix ont également flambé car le sac qui coutait 11.000 francs est actuellement vendu à 14.000 francs. Le kilogramme passe de 300 francs à 600 voire 700 francs. Ces commerçants et clients invitent le ministre du commerce à mieux veiller sur la qualité et sur le prix à l’avenir.
Reportage Abdoul Aziz NDIANE
Après la Tabaski, il y a encore beaucoup de moutons dans les points de vente. Les vendeurs, sis derrière le stade Léopold Sédar Senghor, déplorent cette situation mais espèrent toutefois épuiser ce stock d’invendus avec l’arrivée des pèlerins. Ils informent cependant que les prix des moutons restent encore élevés à cause de la cherté de l’aliment de bétail. En dépit de cette situation, ils précisent que les moutons de race ont été les plus prisés par les acheteurs.
Reportage Abdoul Aziz NDIANE
Après la Tabaski, il y a encore beaucoup de moutons dans les points de vente. Les vendeurs, sis derrière le stade Léopold Sédar Senghor, déplorent cette situation mais espèrent toutefois épuiser ce stock d’invendus avec l’arrivée des pèlerins. Ils informent cependant que les prix des moutons restent encore élevés à cause de la cherté de l’aliment de bétail. En dépit de cette situation, ils précisent que les moutons de race ont été les plus prisés par les acheteurs.
Reportage Abdoul Aziz NDIANE
1er juillet, date retenue pour la hausse généralisée des salaires dans le privé. Dans les détails, la revalorisation des primes de transport passe de 20.800 à 26.000 francs, le SMIG enregistre une hausse de 11% et l’augmentation des salaires catégoriels passe de 10% pour les catégories 1 à 4, de 8% pour les catégories 5 à AM2 et de 5% pour les AM3 et les catégories supérieures. Les concernés applaudissent et attendent avec impatience son entrée en vigueur.
Micro-trottoir réalisé par Abdoul Aziz NDIANE
Après les manifestations notées la semaine passée dans la capitale, les éleveurs de moutons confient qu’ils ont pris toutes les dispositions nécessaires pour la sécurité de leurs moutons. Selon eux, les moutons ne sont pas nombreux car certains pays ne veulent pas prendre de risque à cause du climat peu favorable. Ainsi, ils affirment que les prix des moutons sont chers.
Reportage Abdoul Aziz NDIANE
Lancement ce lundi de l’assurance santé de la SONAGED. 14.000 agents vont être enrôlés et chacun d’entre eux pourra prendre en charge 5 membres de sa famille. Globalement, c’est 70.000 personnes qui vont bénéficier de cette couverture médicale informe le Médecin de la SONAGED, Dr Abdou Karim Fofana. Une plateforme digitale d’enrôlement sera mise en place pour les travailleurs pour s’inscrire afin de bénéficier des services sanitaires ; un centre médico-social sera créé pour les travailleurs.
Nous l’écoutons au micro de Abdoul Aziz NDIANE
Comme le commerce, le transport n’est pas aussi épargné. Chauffeurs de Tata, taximen et clients, tous subissent les contre-coups de ce problème judiciaire. Ces acteurs du transport crient leur ras-le-bol face à cette situation qui a fini d’impacter leur chiffre d’affaires. Ils plaident pour un règlement définitif de cette question pour le bon fonctionnement de l’activité économique et du pays pris en otage.
Reportage Abdoul Aziz NDIANE
Des commerces fermés, des transports à l’arrêt, l’économie sénégalaise paralysée ce matin par le procès pour diffamation Mame Mbaye Niang-Ousmane Sonko. Selon les personnes rencontrées dans les rues de la capitale, le secteur informel est le plus à plaindre dans cette situation. Ces derniers déplorent et invitent l’Etat et l’opposition à discuter pour trouver des solutions à ce problème.
Micro-trottoir réalisé par Abdoul Aziz NDIANE
