Catégorie : Oumy Diop

A la Une / Industrie / Oumy Diop

Comptoir National de Contrôle et Commercialisation de l’or : Les bijoutiers se prononcent

D’ici fin décembre 2023, le Comptoir National de Contrôle et de Commercialisation de l’or devra être mis en place. Instruction donnée par le Chef de l’Etat Macky Sall. Ce dispositif permettra d’exploiter exclusivement l’or et de contrôler les exportations. Certains bijoutiers saluent l’avènement de ce Comptoir qui servira à réguler le secteur tandis que d’autres estiment que les priorités sont ailleurs.
Reportage Oumy DIOP

A la Une / Développement / Oumy Diop

Lancement du Certificat Pratique Professionnel en Comptabilité et Finance

Lancement ce matin du Certificat Pratique Professionnel en Comptabilité et Finance. Cette initiative de l’Ordre National des Experts Comptables et des Comptables Agréés du Sénégal entre dans le cadre du programme FASE (Programme d’Amélioration des Compétences Fondamentales en Comptabilité et Gestion Financière). Financé à hauteur de 3 millions d’euros par le gouvernement autrichien et appuyé par des partenaires nationaux et internationaux, ce certificat cible entre autres les étudiants titulaires de BTS en comptabilité et finance, d’une licence pour une meilleure transparence dans la gouvernance et l’économie en général.
Compte rendu Oumy DIOP
Ce Certificat vise à améliorer la pratique professionnelle des futurs techniciens comptables mis à la disposition des entités du secteur public, parapublic et privé.

A la Une / Commerce / Oumy Diop

L’oignon local visible sur le marché : Le kilogramme cédé à 700 francs

L’oignon local est déjà présent sur le marché. C’est le cas au marché Gueule Tapée. Cependant, les commerçants ignorent sa provenance. Toutefois, il est vendu moins cher que celui importé. En atteste, le kilogramme qui est de 700 francs contre 800 pour l’oignon importé et le sac de 25kg est cédé à 14.500 contre 16.000 francs. En attendant de voir sa floraison sur le marché, vendeurs et consommateurs se rabattent sur l’oignon importé.
Reportage Oumy DIOP

A la Une / Agriculture / Oumy Diop

Création de centres de stockage des produits horticoles : Les acteurs divisés

Plus de 300 milliards FCFA, c’est le coût du financement de la réalisation de 105 centres de stockage pour la conservation et la commercialisation des produits horticoles. La phase pilote estimée entre 55 et 60 milliards devrait permettre de mettre en place les 20 premiers centres destinés à l’oignon, la pomme de terre et d’autres légumes. Cette initiative est saluée par la Direction de l’horticulture qui table sur 4.000 tonnes en termes de production d’oignon tandis que la Fédération Régionale des horticultrices de Diourbel reste, elle, sceptique.
Reportage Oumy DIOP

A la Une / Agriculture / Invité du jour / Oumy Diop

Invité : Serigne Thiam, Chef de la Division de suivi et de l’analyse des marchés et des produits horticoles à la direction de l’horticulture

Serigne Thiam est l’invité du journal. Le Chef de la Division de suivi et de l’analyse des marchés et des produits horticoles à la direction de l’horticulture revient dans cet entretien sur les 105 centres de stockage et de commercialisation prévus par le ministère du commerce. Serigne Thiam juge qu’elles vont être bénéfiques à cette filière surtout pour éviter une spéculation et des pertes financières pendant les campagnes de commercialisation de cette filière horticole.
Il est interrogé par Oumy DIOP

A la Une / Emploi / Oumy Diop

Ministère de la jeunesse : Le budget arrêté à plus de 33 milliards

Arrêté à plus de 33 milliards FCFA, le budget du ministère de la jeunesse, de l’entrepreneuriat a connu une hausse de plus d’un milliard FCFA pour l’exercice 2024 comparé à 2023. Venu défendre son budget, le ministre a rappelé qu’il reste beaucoup à faire dans le domaine de l’entrepreneuriat et de l’emploi des jeunes. Pape Malick Ndour informe que l’Etat entend œuvrer dans la résolution de l’émigration clandestine qui a été au centre des débats lors du vote de ce budget.
Reportage Oumy DIOP

A la Une / Agriculture / Oumy Diop

Campagne de commercialisation arachidière : Le prix planché salué par les acteurs

Campagne de commercialisation arachidière 2024, le prix planché est fixé à 280 francs le kilogramme. Il enregistre ainsi une hausse de 5 francs comparée à l’année dernière. Le conseil interministériel qui a pris cette décision annonce le 30 novembre pour le démarrage de ladite campagne. Les acteurs du secteur saluent ce prix et se disent prêts pour la campagne car l’Etat a décidé de rembourser au mois de décembre 40 sur les 70 milliards dus aux opérateurs privés.
Reportage Oumy DIOP

A la Une / Agriculture / Invité du jour / Oumy Diop

Invité : Aliou Dia, porte-parole du Comité de suivi de la campagne de commercialisation arachidière

Aliou Dia est l’invité du journal. Le porte-parole du Comité national de suivi de la campagne de commercialisation de l’arachide, par ailleurs Président des Forces Paysannes revient dans cet entretien sur le prix planché fixé à 280 francs le kilogramme pour 2024. Mais également sur la dette due par l’Etat aux opérateurs privés. Il appelle ainsi l’Etat qui compte d’ici décembre payer 40 des 70 milliards de dette à accélérer ce paiement.
Entretien réalisé par Oumy DIOP

A la Une / Commerce / Invité du jour / Oumy Diop

Invité : Momath Cissé, vice-président ASCOSEN sur la baisse du budget du ministère du commerce

L’invité du journal est Momath Cissé. Le vice-président de l’ASCOSEN revient sur la baisse du budget du ministère du commerce, des PME et de la consommation. Décision qu’il trouve correcte. Il plaide toutefois en priorité pour une autre homologation du prix du pain et aussi veiller à la subvention du riz importé.
Entretien réalisé par Oumy DIOP

A la Une / Commerce / Oumy Diop

Le budget du ministère du commerce : Une baisse de plus de 90 milliards notée

Marathon budgétaire 2024, le budget du ministère du commerce, des PME et de la consommation enregistre une baisse de plus de 90 milliards comparée à l’année précédente. Il est arrêté pour 2024 à plus de 24 milliards de FCFA. Cette baisse s’explique, selon Mamadou Moustapha Ba, par le repli supplétif des cours mondiaux sur certaines denrées ayant connu une baisse dernièrement. Les parlementaires ont interpellé le ministre sur la polémique autour de la ferraille, la vie chère, les factures d’électricité, les prix des denrées, entre autres.
Reportage Oumy DIOP

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