Archive du jour : avril 2, 2019

Journée internationale du travail invisible célébrée ce 2 avril : Origine et objectif

Célébration aujourd’hui de la journée internationale du travail invisible. Un concept élaboré il y a une quarantaine d’années au Québec par l’Association Féminine d’Education et d’Action sociale. Objectif, montrer dans l’espace public le travail non rémunéré accompli, le plus souvent, par les femmes dans leur famille, ainsi que le bénévolat en général. Son qualificatif d’invisible résulte de sa non reconnaissance et prise en charge dans les comptes nationaux comme par exemple le PIB.

Plus d’explications avec vous, Aminatou DIALLO

BM : Un programme des filets sociaux pour lutter contre la vulnérabilité des personnes

Lutte contre la vulnérabilité des personnes dans la sous-région et le Sénégal : le programme des filets sociaux vient en appoint au programme de service de base. Le programme des filets sociaux permet aux pauvres de sortir de la précarité et de vivre plus dignement grâce aux aides fournies par les partenaires et les gouvernements.

Seynabou Gaëlle DIONG

Invité du jour : Thomas Bossuroy spécialiste principal en protection sociale à la Banque Mondiale

Présentation hier dans les locaux de la Banque Mondiale de l’ouvrage intitulé « Les filets sociaux en Afrique, comment réaliser leur potentiel ? ». Cet ouvrage d’une cinquantaine de pages dresse le panorama des différents programmes de filets sociaux de plus en plus nombreux sur le continent. Thomas Bossuroy insiste sur la nécessité de prendre en compte la dimension politique de ces programmes pour un fort niveau de soutien auprès des populations et décideurs publics.

Thomas Bossuroy spécialiste principal en protection sociale à la Banque Mondiale répond aux questions de Seynabou Gaëlle DIONG

Invité du jour : Meissa Babou, économiste sur la prestation de serment du Président Macky Sall

Le Centre des Expositions du Pôle Urbain de Diamniadio abrite ce matin la cérémonie d’investiture du Président Macky Sall pour un second mandat. Une cérémonie qui enregistre la présence d’au moins 18 Chefs d’Etats africains en exercice et de chefs de gouvernements et de fortes délégations venant de plusieurs pays. Selon l’économiste Meissa Babou, il ne faut pas se focaliser sur les millions et les milliards dépensés pour la tenue de cette cérémonie mais plutôt sur l’impact que cela pourra avoir sur le niveau de la diplomatie sénégalaise. L’économiste fustige par contre le choix de Diamniadio et la fermeture de l’autoroute à péage.

Meissa BABOU est joint par Aminatou DIALLO

YouTube