Invité : Dr Oumane Ndiaye, Directeur de l’Exploitation de la Météorologie à l’ANACIM

Les pays africains perdent chaque année en moyenne entre 2 et 5% de leur PIB à cause des événements climatiques extrêmes tels que les vagues de chaleur meurtrières, les fortes précipitations, les cyclones et les épisodes de sécheresse. Information contenue dans le rapport publié ce lundi par l’Organisation Météorologique Mondiale. Cette dernière exhorte d’ailleurs les pays africains à accélérer la mise en place de systèmes d’alerte précoce. Interpellé sur le sujet, le Directeur de l’Exploitation de la Météorologie à l’ANACIM informe qu’au Sénégal un Système d’Alerte Précoce (SAP) est mis en place depuis une vingtaine d’années. Système qui a permis, selon Dr Ousmane Ndiaye, de réduire considérablement les effets du changement climatique sur l’agriculture, l’élevage, la pêche, entre autres. Il prône pour plus de mesures d’accompagnement pour plus d’efficacité de ce système.
Il est interrogé par Aminatou DIALLO

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