Archive du jour : février 16, 2018

Convention de partenariat entre Proplast et la SONATEL : Proplast s’engage à acheter le kilo des déchets solides à 50 voire 100F

La société Proplast récupère 100 à 150 tonnes de déchets plastiques par an pour un montant de 50 à 150 millions de FCFA. Hier, la Sonatel et la société Proplast ont signé une convention de partenariat à la mairie de Yoff pour le ramassage des déchets solides. Cette convention entre dans le cadre de la responsabilité sociétale de la Sonatel à travers son programme ‘’And défar sunu gox. La société Proplast s’engage à acheter le kilo de ces déchets solides à 50 voire 100F.

Ecoutons Macoumba Diagne Directeur Général de la société Proplast au micro de Souveibou SAGNA

Lutte contre l’insalubrité : La commune de Yoff reçoit des cantines de la société Proplast pour la récupération des déchets solides

Lutte contre l’insalubrité ; la commune de Yoff reçoit des cantines de la société Proplast pour la récupération des déchets solides. Pour le maire de Yoff, cette initiative va rendre sa commune propre et attirante. Selon Abdoulaye Diouf Sarr, sa volonté est de faire de Yoff une commune d’écologie. C’est dans ce cadre que 500 jeunes seront mobilisés pour nettoyer les rues de Yoff. Abdoulaye Diouf Sarr invite la Sonatel à paver les trottoirs de Yoff afin de lutter contre l’ensablement.

Abdoulaye Diouf SARR que nous écoutons au micro de Souveibou SAGNA

Antibiorésistance : Les pharmaciens pour une réglementation de la vente des antibiotiques

L’antibiorésistance, une préoccupation de l’Organisation Mondiale de la Santé avec une augmentation de plus de 5% entre 2014 et 2016. L’Organisme a sonné l’alerte la semaine passée pour faire face à ce phénomène. La même préoccupation est partagée par les pharmaciens qui incombent la faute à l’automédication. Ils estiment par ailleurs qu’il faut réglementer davantage la vente des plaquettes et génériques antibiotiques.

Reportage Seynabou DIALLO

Rencontre interministérielle sur la retraite des enseignants du supérieur : Un comité technique mis en place

La rencontre interministérielle sur la retraite des enseignants du supérieur s’est soldée par la mise en place d’un comité technique. Son objectif est d’étudier les propositions permettant au gouvernement de prendre les décisions sur la retraite. Selon le secrétaire général du SAES dont la question de la retraite est le point focal de ces revendications, des propositions et des choses restent à définir. Une rencontre est prévue jeudi prochain.

Compte rendu Christiane Claire GOMIS

Programme de la monnaie unique de la CEDEAO : Une réunion de Chefs d’Etat africains prévue le 21 février à Accra

Le président ivoirien, Alassane Ouattara et ses pairs du Ghana, Nana Akufo-Addo, du Niger, Mahamadou Issoufou et du Nigeria, Muhammadu Buhari, vont se réunir le 21 février à Accra, au Ghana, pour examiner la mise en œuvre du Programme de la monnaie unique de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO). La nouvelle feuille de route initiée sous l’égide de l’organisation régionale en vue d’accélérer le processus de création de ladite monnaie à l’horizon 2020 sera également adoptée à cette occasion.

Le point avec Mbayang COR

Bale 2 et Bale 3 : Signification de ces normes et les changements qu’elles peuvent apporter

Depuis le 1er janvier 2018, les établissements assujettis sont soumis à une nouvelle réglementation prudentielle selon la BCEAO avec l’entrée en vigueur des normes Bâle II et Bâle III comme voulue par la Banque Centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest. L’institut d’émission entend accompagner les établissements de crédit pour que le basculement ne soit pas un saut dans le vide. Que signifient ces normes ? Quels changements vont-elles apporter ?

La réponse avec Aminatou DIALLO

Invité du jour : Amadou Lamine Diagne, consultant, cadre de banque

Bale 2 et 3 sont des normes de gestion et de contrôle du secteur français. Ces normes prudentielles doivent permettre de réorganiser le secteur bancaire dans la zone CEDEAO. Mais depuis sa mise en œuvre, les normes prudentielles suscitent des inquiétudes de la part des banques qui ne sont pas prêtes à réaliser la totalité de la réforme sur une période courte. Pour Amadou Lamine Diagne, seule la Banque Centrale peut décider des sanctions pour les banques réfractaires. Mais ce consultant, cadre de banque d’ajouter que la mise en œuvre des recherches faites par la Banque Centrale auprès des institutions financières prendra du temps car les banques sont différentes les unes des autres.

Amadou Lamine DIAGNE est joint au téléphone par Seynabou Gaëlle DIONG

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