Archive du jour : mai 17, 2023
Maux de tête, bourdonnement, vertiges sont les signes avant-coureurs de l’hypertension artérielle. Célébrée aujourd’hui par la Ligue Mondiale de l’hypertension artérielle, cette pathologie est décrite par le Dr Mouhamed Ly comme silencieuse et peut entrainer des complications comme l’infarctus et attaque cérébrale si elle est détectée tardivement. Le Docteur en santé publique recommande des dépistages périodiques, une alimentation saine et éviter la sédentarisation comme moyens de prévention.
Seynabou Gaelle DIONG
Difficile de se procurer du lait local en cette période de l’année. Un dysfonctionnement dans l’approvisionnement qui s’explique par la cherté de l’aliment de bétail et la faiblesse du tapis herbacé. Les vendeurs de lait au marché de Tilène déplorent la baisse des productions journalières et pointent du doigt la concurrence du lait en poudre et le manque d’unités de conservation et de transformation. Cependant, ils informent que les prix du lait sont accessibles et varient entre 250, 500 et 6.000 francs.
Reportage Sadio SYLLA
Les vaches locales produisent 60% des besoins en lait avec 3 à 4 litres par vache et par jour. Le Chef de la Division industrielle laitière au ministère de l’élevage de souligner qu’avec les 3 systèmes d’élevage notamment extensif, croisé et moderne, le ministère est en train de réfléchir sur comment accroitre rapidement la production laitière.
Famara SARR que nous écoutons
9 mois après le démarrage de la campagne nationale de vaccination du cheptel, certains acteurs affichent leur satisfécit. Cependant, ils restent moins enthousiastes à l’approche de la fête de Tabaski. La raison, d’après la Présidente du Directoire national des femmes en élevage, c’est la cherté de l’aliment de bétail.
Dieynaba SIDIBE est interrogé par Mbayang COR
Juste rappeler que la fin de la campagne de vaccination est prévue pour le 31 septembre prochain
Avec plus de 3 millions de vaches, le Sénégal a une bonne production de lait en période d’hivernage. Cependant, sa valorisation fait défaut de même que sa commercialisation, selon le Président du comité ad hoc pour la mise en place de l’interprofession lait. Ousmane Ndiaye justifie cela par le manque de centre de collecte de lait, de logistiques de transport du lait, entre autres. Conséquence, la fracture laitière ne cesse d’augmenter chaque année.
Nous l’écoutons au micro de Seynabou DIALLO
